La médecine par les plantes, c’est vieux, « comme mes robes » !
Dans l’Antiquité déjà et sans nul doute bien avant, puisque la Chine et l’Egypte ancienne etaient déjà là, comme en Mésopotamie pour nous en faire part à l’écrit, l’humain, ce sombre crétin, nous a transmis bien des remèdes. Ces rustres et sans éducation savaient y faire pourtant. Pire ! Ils partageaient leur savoir.
GRATUITEMENT entre érudits !
Grâce aux plantes ces imbéciles ont toujours tenté avec le soutien de mère nature, Papamaya ou autres, bien des remèdes.
Dans notre monde occidental, nous n’hésitons pas à parler des remèdes de « grand_mères ». Dans bien des civilisations, entre fantasmes mythologies et réalité, les remèdes naturels ont toujours été présents.
Les pilules « oin oin ».
Dans notre monde occidental tellement à la pointe de la technologie, nous ne voyons plus que par des pilules poléiformes, synthétiques et, surtout, surtout, avec des noms barbares aux couleurs flashies ou blanches. Des molécules de synthèse reprenant à s’y méprendre aux valeurs curatives ou soignantes des produits que mère nature nous offre gratuitement.
Dans une société vénale quelle place reste t il pour la considération humaine, pour le rapport à la nature ?
Il ne suffit pas de se dire écolo pour l’être ?
Alors vivre en phase avec la nature, c’est encore plus complexe.
Denis Artot est il un charlatan, un fou, un homophobe ?
Vouloir soigner un homosexuel par les plantes de ses angoisses, de son mal être ou de ses craintes diverses et variées, n’est ce pas là une forme de discrimination ? N’ est ce pas là une forme, finalement, d’homophobie ?
Je sais que si je me fais piquer par des orties, le moyen le plus radical pour éviter le côté urtiquant est de m’uriner sur la partie touchée. Ce ne sont pas des plantes, mais, hélas, c’est efficace ! De même que les Romains utilisaient l’urine pour blanchir le linge. Comme quoi, la nature recycle tout. Enfin, si l’on veut bien y prêter attention. Pour la connerie humaine, malheureusement, peu d’usage efficace mais beaucoup de dégâts. Actuellement des cheveux servent de tampon pour éviter une marée noire. L’humain est plein de ressources dans le mal comme dans le bien. Merci à Hugo Clément de faire le relai, en à parte pour ce sombre cataclysme lié au tout pognon…
Mais revenons en à nos moutons de Panurge.
Lorsque je ne vais pas bien, pour diverses raisons, je chante. C’est bon pour la nature. Car après, il pleut, parfois. De moins en moins souvent, me serai je amélioré ou est ce lié au réchauffement climatique, qui n’existe pas selon les climato septiques ?
Pourquoi les plantes ne pourraient elles pas aider les LGBT, une minorité parmi les minorités ?
Pourquoi ce titre provocateur ?
Toutes les minorités ne se valent elles pas ?
Non, c’est là plus qu’une évidence. A priori, être LGBT, ce n’est pas inscrit sur notre front. Pourtant, la différence, le manque de considération, la haine, le mot de trop ou le silence, c’est quotidiennement que nous l’avons. Nous le vivons toutes et tous dans nos différences. La raillerie et le mépris aussi sont souverains dans un monde hétéro normé. OUI. Mais parfois pour un accent, cela peut être subi comme un vrai ouragan, comme une déchéance d’humanité, un truc en trop. J’ai hélas ce mauvais souvenir d’un acteur que j’aime beaucoup qui a un phrasé chantant. Il l’a mal pris ! Pourtant, j’aimais lorsqu’il me parlait. J’avais l’impression que la lavande et le soleil me pénétraient.
A titre très égoïste, je vous dirai qu’aujourd’hui, j’ai personnellement bien de la chance.
Mais alors que dire d’unE homo, handicapée physique, vivant en France et originaire de Hambourg, dans un milieu blanc, elle ou lui « colorée » ou inversement ? dans un milieu culturel, cultuel différent ?
Soyons honnêtes.
Nous ne savons pas si ce monsieur est un homme « intègre » ou un « farfelu ». Nous connaissons ses qualités proffessionnelles et humaines. MAIS… D’aucunEs le traiterons d’homophobe au mieux, d’autres de charlatan.
Sur Inverti, nous espérons son droit de réponse, tout simplement.
Qu’il ait choisi Amazon pour premier diffuseur, nous gêne, un peu… beaucoup. Sansdoute, n’avait il pas le choix, qui sait.
Il aurait toute sa place chez d’autres diffuseurs. Peut être, n’a t il pas eu d’autre option ?
Noyé dans la masse des machines à fric, il a peu de chance de visibilité, un peu comme nous sur la toile, petit poisson rouge que nous sommes,nous, des gens « différents ».
Malheureusement pour beaucoup, pour l’ensemble de l’Humanité, la différence, c’est le lot de chacun. Chaque individu est différent de l’autre. C’ est bien ce qui nous enrichie et peut nous rendre plus fort ou nous affaiblir si nous devenons stupides.
Dans la Nature, nous n’avons jamais vu un arbre ou une fleur identique à aucunE autre.
Les arbres parlent entre eux, elles, nous ne connaissons pas leur genre, si tant est qu’ils/elles en ont un, le saviez vous ?
Peut être que les fleurs peuvent aussi nous apprendre à mieux maîtriser nos émotions ?
Et ce quelle que soit notre condition humaine ? Nous n’espérons pas pour les haineu.SES.x.
Nous avouons que sur Inverti, nous aimerions tant cela.
Que pouvez vous nous répondre Denis Artot ?
Pardonnez nous, si nous préférons sur Inverti les préludes de Bach. Les caresses sont plus aisées à supporter que les « bons sentiments »…