
Face à ces condamnations à mort, l’Occident ne dit mot.
Même si de plus en plus de pays à travers le monde défendent les droits des personnes LGBTi+, plusieurs d’entre eux continuent de tuer leur population LGBTi+.
C’est toujours le cas en Iran où plusieurs associations défendant les droits humains (Human Rights Activists News Agency – HRANA) dénoncent la pendaison d’un homme accusé de pratique sodomite. L’exécution a eu lieu mercredi dernier. L’Iran n’a pas encore rendu officielle cette exécution. Pour rappel, le pays est en négociation avec les instances de régulation de l’énergie nucléaire et également en discussion pour exporter plus de pétrole face à la crise énergétique mondiale.
Du côté du Nigeria, il y a eu également l’exécution par lapidation de trois hommes suspectés d’être homosexuels. Les exécutions ont eu lieu dans la province de Bauchi le vendredi 1er juillet. Ils avaient été arrêtés le 14 juin et jugés sans avocat le 30 juin. D’après la loi, ils avaient 30 jours pour faire appel de la décision. Pour des raisons homophobes, l’exécution de la sentence a été faite avant la fin de ce délai.
Afghanistan, Arabie saoudite, Bénin, Iran, Mauritanie, Nigeria, Somalie, Soudan et le Yémen condamnent toujours de la peine de mort les personnes LGBTi+